C'est une question très large.
Le plus souvent on va redoubler la consonne entre deux voyelles quand nous formons le féminin des adjectifs ou des substantifs qui se terminent en –en, –ien, –on –et, -el, -eil:
un musicien – une musicienne,
un patron – une patronne
cadet – cadette
bon – bonne
pareil – pareille,
etc.

Nous redoublons la consonne pour certains verbes du premier groupe quand le "e"-caduc n'est pas prononcé après ces consonnes :
jeter – je jette – je jetterai
appeler – j'appelle – j'appellerai
etc.

un vengeur - une vengeresse
un compagnon - une compagne

On dit "intéresser qn." => transitif direct => nous=COD => on fait l'accord avec "nous" => Votre avis nous a intéressés"

Voir aussi les explications sur notre site:
L'accord du participe passé (diaporama)

L'accord du participe passé (texte)

On va distinguer deux cas de l’accord de l’adjectif « feu(e) » :
1) Entre le déterminant et le nom : +accord -> la feue reine; ma feue mère.
2) Avant l'article, le possessif : - accord (invariable) -> feu la reine; feu mes oncles; feu ma mère.

Oui, un euro - des euros

Dans la forme passive on fait l'accord avec le sujet grammatical du verbe:
les travaux ont été perturbés.

Voici un extrait de la présentation en ligne tirée de notre site :

D'après la recommandation de l'Académie française, on garde invariable les participes passée des verbes "faire" et "laisser" suivis immédiatement d’un infinitif, parce qu'on considère  les constructions ["faire"/"laisser" + infinitif] comme des périphrases. Ainsi, on devrait dire "il m'a laissé sortir".

Dans ce contexte, il faut toujours faire l'accord avec "chantiers" -> "principaux"

un de mes chantiers principaux

Non, il faut écrire “Elles se sont parlé” -> sans accord. Je vous invite à revoir la règle d’accord du participe passé des verbes pronominaux sur notre site :

• schéma [texte]

• présentation virtuelle (flash)

• pdf de cette présentation

Oui, vous avez correctement accordé l’adjectif avec « lettres » → féminin pluriel. Voici la règle de l’emploi de « quelque » (diapo 7) : http://fr.tsedryk.ca/grammaire/presentations/transformations-syntaxiques/Expression-de-l-opposition-et-de-la-concession/index.htm

Les noms du type dizaine, millier, million, etc., se rapprochent beaucoup des déterminants numéraux cardinaux. Une dizaine de personnes et environ dix personnes sont en effet synonymes. 

À cause de ce rapprochement naturel avec les numéraux cardinaux, ces noms entrainent le plus souvent l’accord au pluriel du verbe.

Une dizaine d'écoliers sont sortis de l'école.
Une centaine de curieux assistent à la scène.

Dans ce contexte, « clair » est employé comme un adjectif, donc, il faut l’accorder : « Soyons clair(e)s ».

Le verbe s’accorde au singulier quand tous les éléments de la coordination partagent un seul et même déterminant singulier, dans votre exemple c'est "chaque". AInsi, la variante correcte est « Chaque ligne, volume et superficie vibre. »

Dans ce contexte, il faut accorder l'adjectif « insignifiant » avec le sujet, si « je » est féminin, il faut écrire « insignifiante ». 

D'habitude après le verbe douter on emploie le subjonctif:

• Je doute qu'il soit malade.

L'emploi du mode après ne pas douter que... dépend de l'attitude de celui qui parle:

• l'indicatif (=croire probable):  Je ne doute pas qu’il mentira, car il est absolument impossible qu’il dise la vérité.
• le subjonctif (= très peu probable) : Je ne doute pas qu'il (ne) soit sincère
• le conditionnel: Je ne doute pas qu’il mentirait, si cela était à son avantage.

1. "Il paraît que" se construit normalement avec l’indicatif. Il paraît que vous pensez à démissionner. 
2. Ce verbe se construit avec le subjonctif si un adjectif précède la conjonction que. Il paraît raisonnable que vous soyez consulté.  Il paraît urgent que vous vous remettiez au travail.
3. Dans une phrase négative, il se construit avec le subjonctif. Il ne paraît pas qu’il puisse arriver à temps.
4. Dans les phrases qui expriment une supposition, une hypothèse, le verbe se construit avec le conditionnel. Il paraît qu’elle serait malade.

Étant donné que cette expression exprime des sentiments, on doit toujours utiliser le subjonctif après "je suis content(e) que..."

1° La locution impersonnelle se construit avec l’indicatif si l’action ou le fait est probable.
Il est probable qu’il fera beau ce soir.
2° La locution impersonnelle se construit avec le subjonctif si l’action ou le fait est improbable.
Il est peu probable qu’il vienne ce soir ou il n’est pas probable qu’il vienne.

Dans ce cas, il s’agit du présent de l’indicatif à la forme passive.
Ne confondez pas :

• Elle est sortie. (passé composé du verbe sortir, conjugué avec être).
• Elle est prise. (présent passif)

D’habitude, nous devons utiliser l’indicatif avec le verbe « trouver » employé seul :
Je trouve que vous avez raison.
À la forme négative et interrogative, le subjonctif est de mise :
Je ne trouve pas que vous ayez raison. Trouvez-vous que j’aie raison?
Quand le verbe « trouver » est accompagné d’un adjectif (d’un adverbe) d’appréciation, nous devons utiliser le subjonctif :
Je trouve dommage /extraordinaire/ singulier / étonnant / incongru / bon que vous soyez partis.
Dans ce contexte, c’est le sens de l’adjectif qui influence l’emploi du subjonctif dans la subordonnée complétive.

Il faut conjuguer le verbe à la 2^e personne du singulier (tu) → -es (pour les verbes du 1^er groupe (en -er) → tu nous intéresses

L’adjectif est un mot servant à qualifier les êtres et les choses.

Le participe passé est une forme très spéciale en français. Le plus souvent nous les rencontrons dans les formes composées des verbes. Dans ce cas, il s'agit du verbe:
J'ai terminé, vous avez permis, vous vous seriez inscrits, il avait permis, etc.

Nous pouvons rencontrer également des adjectifs qui sont dérivés de participes passés:
Les étudiants inscrits, les personnes assises, je suis déçu / satisfait, etc.

De même, plusieurs noms sont dérivés de participes passés:
un permis, les produits, une fondue, la prise, etc.

Donc, pour répondre à votre question, quand nous avons un verbe au temps composé, le participe passé joue le rôle d'un verbe; quand le participe passé s'emploie pour qualifier un substantif, dans ce cas il va jouer le rôle d'un adjectif.

Les noms communs:

Ils désignent des "personnes" ou des "choses", ils s'écrivent toujours par une minuscule. Le nom commun est doté d’une signification, d’une définition, et il est utilisé en fonction de cette signification.

une table, un homme, une idée, une fille, etc. - sont des noms communs

Les noms propres:

Ils désignent des personnes, des lieux, des époques ou des choses uniques, ils commencent toujours par une majuscule.

Le nom propre n’a pas de signification véritable, de définition ; il se rattache à ce qu’il désigne par un lien qui n’est pas sémantique, mais par une convention qui lui est particulière. Il n’est pas possible de deviner que telle personne s’appelle Claude. Il n’y a, entre les diverses personnes portant ce prénom, d’autre caractère commun que ce prénom.

Emile Zola, le Louvre, les Alpes, Toronto, etc.

Les noms propres ont souvent été des noms communs à l’origine : Le Havre.
En particulier, beaucoup de noms de familles sont d’anciens surnoms indiquant la profession ou d’autres particularités : Boulanger, Lamarche, Leloup.

adjectif possessif (masculin singulier): mon, ton, son, notre, votre, leur, etc.

pronom possessif (masculin singulier): le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur, etc.

L'adjectif qualifie toujours un nom: mon_(adj) professeur_(nom), ton_(adj)ordinateur_(nom), etc.

Le pronom remplace un nom => il s'utilise tout seul:  Tes problèmes sont plus importants que les miens. ("les miens" pronom possessif  remplace "mes problèmes").

Voici les mots qui me viennent à l'esprit:

• une clé - une clef
• une cuillère - une cuiller

Si l’infinitif n’a pas de complément, son sujet se place avant ou après,
donc, les deux variantes sont grammaticalement correctes :

Je regarde la pluie tomber.
Je regarder tomber la pluie 

Par contre:
Elle fait bouillir l’eau pour le thé. 
Elle fait de l’eau bouillir pour le thé.

Le pluriel de un autre, une autre est d’autres :

J’ai un autre livre -> J’ai d’autres livres.

Le pluriel de de l’autre est des autres :

Rangez ces livres à côté de l’autre. -> Rangez ces livres à côté des autres.

Dans la plupart des cas, on va utiliser un article partitif avec le mot « chocolat » parce que c’est un substantif ‘non nombrable’ (pour indiquer une quantité indéterminée, une partie d’un tout qu’on ne peut pas compter) :

• J’ai mangé du chocolat.
• Elle achète du chocolat. 
• Nous avons trouvé du chocolat.
  etc.

On va utiliser un article défini quand le nom « chocolat » est pris dans le sens général (souvent avec les verbes aimer, adorer, préférer, détester) :

• J’aime le chocolat.
• Alexandra adore le chocolat.
• Julien n’aime pas le chocolat.
  etc.

La bonne phrase serait la suivante:

«Nous voulons avoir la confirmation de votre disponibilité à venir en mission?»

La préposition la plus courante avec le verbe "rentrer" est "à" -> rentrer à Paris.

Il s'agit ici d'une forme passive (être touché), en général, on emploie les verbes au passif avec la préposition par au sens propre (l'arbre touché par la foudre, les régions touchées par cette maladie, etc.) et avec la préposition de au sens figuré (touché de votre présence, de votre gentillesse, etc.)

La variante grammaticalement correcte est "voyager à Paris"

L’emploi de [ après + infinitif passé ] est beaucoup plus fréquent que [ après que + subordonné ].

Ex. : Vous remettez le dictionnaire à sa place après l’avoir consulté (infinitif passé).
        Vous remettez le dictionnaire à sa place après que vous l’aurez consulté (futur antérieur).

La variante correcte serait « Tous les chemins se croisent à Paris », comme dans « Tous les chemins mènent à Rome ».

Il est vrai que cette règle avec l'emploi des pronoms disjoints est compliquée. Voici, les grandes étapes à suivre quand il s'agit de l'emploi des pronoms après les verbes avec une préposition "à":

1) D'habitude, avec les verbes transitifs indirects (préposition à) nous employons les pronoms compléments indirects (me, lui, leur, etc.)

J'écris une lettre à mon ami. - Je lui écris une lettre.
Je parle à ma voisine. - Je lui parle.

Mais il y a deux cas particuliers:

a) Nous devons toujours utiliser un pronom tonique après 5 verbes (penser à, s’habituer à, s’intéresser à, faire attention à, tenir à)

Elle pense à son mari. - Elle pense à lui.
Il s'habitue à ses beaux-parents. - Il s'habitue à eux.

b) Nous ne pouvons pas avoir les pronoms compléments "me, te, se, nous, vous" avec les pronoms "lui et leur", dans ce cas nous devons employer un pronom disjoint "à lui, à elle, à eux ou à elles".

Je vais vous présenter à mes amis. - Je vais vous présenter à eux.
Est-ce que tu te présenteras au directeur? Oui, je me présenterai à lui.

Voir les explications sur notre site:

Emploi des pronoms disjoints (toniques) [diaporama]
Les pronoms disjoints (toniques) [texte]

Pour répondre à votre question, il faut voir si le verbe est employé avec la même préposition « de » avec un complément  d’objet (c’est-à-dire, avec un nom). Par exemple,

1.       J’ai envie de faire ce voyage. => J’ai envie de ce voyage. => Nous remarquons que la même préposition « de » est employée dans les deux cas. => J’en ai envie.

2.       J’oublie de fermer votre porte. => J’oublie votre clé => Nous n’avons plus de préposition « de » quand on emploie un complément d’objet (un nom). => Donc, nous allons choisir le pronom qui remplace ce complément.  => Je l’oublie.

Donc, si vous avez un complément verbal (de fermer votre porte ou de faire ce voyage) faites toujours des transformations pour voir quel sera le complément avec un nom (J’ai envie de ce voyage vs. J’oublie votre clé).

Si la préposition reste la même dans les deux cas (exemple 1), vous pouvez employer un pronom qui remplace le complément introduit par cette préposition.  

Si vous observez un changement de complément (de => direct), il faut alors employer le pronom qui remplace le nom (exemple 2).

Dans ce cas, il est conseillé d’utiliser le pronom d’objet indirect (forme atone) : Il leur fait appel.

En général, il faut utiliser un pronom tonique après quelques verbes pronominaux (s’habituer à, s’intéresser à, s'adresser à, s'attacher à, se plaindre à, etc.) et après quelques verbes (être à, penser à, songer à, faire attention à, tenir à):
:
Elle pense à son mari. - Elle pense à lui.
Il s'habitue à ses beaux-parents. - Il s'habitue à eux.

Dans cet exemple, il s’agit des pronoms :

1. l’= « le » pronom personnel complément d’objet direct qui fait référence à « il »;
2. « en » pronom adverbial qui remplace « de l’eau ».

Sans ces pronoms, on aurait la phrase suivante : Il se serait bien sûr noyé, si un homme ne s'était pas jeté dans l’eau et n'avait pas retiré ce garçon (=le) de l’eau (=en).

Dans ce contexte, le pronom « le » occupe la fonction d’attribut du sujet, et il a une valeur voisine de cela. Ainsi, quels que soient le genre et le nombre du terme qu'il représente, « le » reste invariable (il n’y pas d’accord). ·        

• Elles sont heureuses, mais elles ne l’ont pas toujours été.
• Nous sommes étudiantes, vous l’êtes aussi.
• Julie est très patiente, mais sa petite sœur ne l’est pas du tout.

En principe, on va redoubler "s" lorsqu'on ajoute le préfixe "re-" aux mots qui commencent par "s" ->
source - ressource, sauter - ressauter, sembler - ressembler, sentir - ressentir, etc.

Il n'y a que deux exceptions:
saler - resaler, salir - resalir

On va distinguer deux cas de l’accord de l’adjectif « feu(e) » :

1)      Entre le déterminant et le nom : +accord -> la feue reine; ma feue mère.

2)      Avant l'article, le possessif : - accord (invariable) -> feu la reine; feu mes oncles; feu ma mère.

Le pluriel du substantif "un nouveau-né" est "des nouveau-nés".

Dans ce mot composé, "nouveau" reste invariable, car il est pris adverbialement au sens de "nouvellement". Seul le deuxième élément "né" prend la marque du féminin et du pluriel.

• nouveau-né - nouveau-née | nouveau-né(e)s

Les deux sont correctes. 

On fait normalement l’élision devant un nom propre s’il commence par une voyelle ou un h muet. C’est donc la même règle que celle qui s’applique pour les noms communs.

Neanmoins, il y a dans l’usage une tendance à ne pas faire l’élision devant un nom propre de personne s’il est court ou s’il a une consonance étrangère (par exemple, le poste que Yves occupe, le fils de Anouk).

Pour plus d'informations, consultez « Élision devant un nom propre »

Dans cette phrase le mot "journée" remplit le rôle d'un complément d'objet direct.

La conjonction "comme si" exprime une comparaison avec un fait irréel, elle s'emploie seulement avec:

• un imparfait pour exprimer la simultanéité:
  Tu parles avec une voix bizarre comme si tu avais mal à la gorge.
• un plus-que-parfait pour exprimer l'antériorité:
  Il a continué à parler comme s'il n'avait pas entendu ma question. 

Les deux sont corrects : « Comme convenu » ou « Comme il a été convenu ».

Ex. : Nous vous remettons comme convenu la somme de 300 dollars.